Monday, February 27, 2017

Canada Employé Stock Options Taxe

La plupart des régimes d'options d'achat d'actions au Canada sont structurés de façon à profiter d'une déduction pour options d'achat d'actions égale à 50% de l'avantage imposable. (Melissa KingiStockphoto) La plupart des régimes d'options d'achat d'actions au Canada sont structurés de manière à profiter d'une déduction pour options d'achat d'actions égale à 50% de l'avantage imposable. (Melissa KingiStockphoto) Options d 'achat d' actions peuvent vous laisser avec une facture d 'impôt méchant Ajouter à. Special to The Globe and Mail Publié le mercredi 18 mars 2015 18h32 HAE Dernière mise à jour le mercredi 18 mars 2015 18h38 HAE L'équité est aux yeux du spectateur. Rappelez-vous l'histoire de Jrme Kerviel. Qui était l'opérateur dérivé de dérivés qui a travaillé à la banque de Socit Gnrale SA à Paris. M. Kerviel a été condamné en 2008 pour violation de confiance. La falsification et l'utilisation non autorisée des ordinateurs des banques, ce qui a entraîné des pertes pour la banque d'environ 7,5 milliards. M. Kerviel a été congédié, mais il a affirmé que la banque était injuste. STRATÉGIE DE PORTEFEUILLE En matière d'équité, les contribuables canadiens ont fait une si grande question que notre gouvernement a introduit des règles d'équité pour alléger les contribuables dans certaines situations. Il y a toutefois une situation qui a été soulevée maintes et maintes fois, mais où les contribuables canadiens ont pleuré, mais le fisc a refusé d'appeler le régime fiscal injuste. Une récente décision de la cour a de nouveau pris position avec le contribuable sur la question, et les Canadiens doivent prendre garde. Laisse-moi expliquer. Imaginez ceci. Vous êtes employé par une entreprise qui offre un plan d'options sur actions. En vertu du plan, vous êtes en mesure d'acheter des actions de votre employeur à 10 par action. Au fil du temps, la valeur des actions sur le marché libre s'élève à 200 dollars par action. Donc, vous exercer vos options et acheter 1000 actions pour 10 chacun. Votre coût est donc de 10 000. Les actions valent 200 000 (1 000 actions à 200 chacune). Vous faites un bon bénéfice de 190.000 dans le processus. Le fait est, cet exercice de vos options va déclencher une certaine taxe. Vous venez de réaliser un bénéfice de 190 par action (200 moins 10), pour un bénéfice total de 190 000. Cela sera imposable pour vous, non comme un gain en capital, mais comme un revenu d'emploi. Les bonnes nouvelles La plupart des régimes d'options d'achat d'actions au Canada sont structurés de façon à profiter d'une déduction pour options d'achat d'actions égale à 50% de l'avantage imposable. Dans cet exemple, supposons donc que seulement 95 000 de la prestation (une moitié de 190 000) seront imposables. Cela donnera lieu à une facture d'impôt de 44 090 pour quelqu'un dans une tranche d'imposition élevée en Ontario en 2015. Mais l'histoire n'est pas terminée. Supposons que vous maintenez sur vos actions, et les actions tombent à seulement 10 sur un court laps de temps. Vous devrez encore au contribuable 44 090 en impôts, mais vos actions valent maintenant seulement 10 000 (1 000 actions à 10 chacun). Où allez-vous obtenir l'argent pour payer votre facture d'impôt Si vous vendez vos actions pour 10 000, vous réaliserez une perte de 190 000 (votre prix de base rajusté est 200 000 la valeur à la date où vous avez exercé vos options, mais vous les vendre pour 10 000) . Vous pourriez vous attendre à ce que votre avantage imposable sur les options d'achat d'actions puisse être compensé par votre perte de 190 000 sur la vente de vos actions. Pas tellement. La perte est considérée comme une perte en capital, alors que le revenu imposable est considéré comme un revenu d'emploi. Les pertes en capital peuvent être appliquées contre les gains en capital, mais pas généralement d'autres types de revenus. Le résultat Vous ferez face à l'impôt sur les options d'achat d'actions sans soulagement immédiat de la perte. Il y a eu quelques affaires judiciaires dans le passé sur cette question. Le 20 janvier, M. Bing Zhu, un contribuable canadien, a été la victime la plus récente des tribunaux (voir Bing Zhu c. La Reine, 2015 TCC 16). M. Zhu avait acquis 116 000 actions de son employeur, Canadian Solar Inc. (CSI) et, en septembre 2008, il avait exercé ses options et avait acquis 53 150 actions de son employeur. Il a dû déclarer un revenu d'emploi de 1 667 070 (la moitié d'entre eux étant imposable en raison de la déduction d'actions de 50 pour cent) en raison de ses options sur actions en 2008, mais a vendu ses actions en novembre 2008 pour une perte de 1 247 657 . Il a tenté de faire valoir que ses pertes n'étaient pas des pertes en capital, mais des pertes commerciales régulières, dans une tentative de faire appliquer ses pertes à son revenu d'emploi. Ne marchait pas. Le tribunal a statué contre lui. Même si ce n'est peut-être pas juste pour M. Zhu, la cour n'a pas le pouvoir de donner un redressement fondé sur un argument d'équité. Pour éviter le sort de M. Zhu et tant d'autres, envisager de vendre toutes les actions acquises dans le cadre d'un plan d'options sur actions dès que possible. Sinon, vous courez le risque de ces actions tombant en valeur et vous laissant avec un impôt frappé et une perte en capital qui ne compensera pas votre revenu d'emploi imposable. Au minimum, vendre suffisamment d'actions pour augmenter l'encaisse pour payer vos impôts. Tim Cestnick est directeur général de Advanced Wealth Planning, gestion globale de la richesse de la Banque Scotia et fondateur de WaterStreet Family Offices. Restrictions copy Thomson Reuters 2012. Tous droits réservés. La républication ou la redistribution du contenu de Thomson Reuters, y compris par framing ou des moyens similaires, est interdite sans le consentement écrit préalable de Thomson Reuters. Thomson Reuters n'est pas responsable des erreurs ou des retards dans le contenu de Thomson Reuters, ni de toute action prise sur la base de ce contenu. Thomson Reuters et le logo Thomson Reuters sont des marques de commerce de Thomson Reuters et de ses sociétés affiliées. Globe Investor fait partie de The Globe and Mails Report on Business Données sélectionnées fournies par Thomson Reuters. copy Thomson Reuters Limited. Cliquez sur Restrictions. Copyright 2017 Le Globe and Mail Inc. Tous droits réservés. 351, rue King Est. Suite 1600. Toronto. ON Canada M5A 0N1 Phillip Crawley, PublisherCanada. La planification de l'impôt sur le revenu pour la structure d'un régime d'options d'achat d'actions nécessite la loi sur le revenu et l'expertise en droit des sociétés que nos avocats spécialisés en fiscalité de Vancouver apportent à toutes les questions fiscales des clients. Dans le cas d'un régime d'options d'achat d'actions, l'employé reçoit ou acquiert le droit d'acquérir des actions de la société, habituellement à une certaine période dans le futur. Parfois, l'employé acquiert certaines actions à la création du régime d'options d'achat d'actions avec le droit d'acquérir des actions supplémentaires à l'avenir. L'acquisition des droits de souscription d'actions peut être différée pour une certaine période et ne sera généralement acquise que si la personne est toujours employée par la société. Contrat d'options d'achat d'actions pour employés - Exigences Il doit y avoir un contrat d'options d'achat d'actions écrit spécifiant comment le salarié acquiert des droits sur des actions supplémentaires, le prix à payer pour ces actions et les exigences d'acquisition. Pour les sociétés fermées, le maintien d'un emploi auprès de la société est généralement une condition préalable à l'exercice de l'option d'achat d'actions et à la conservation des actions. En cas de départ, même si l'employé est congédié, les actions sont habituellement rachetées par la société sur une base quelconque, car une société fermée ne veut pas d'actionnaires qui pourraient avoir des intérêts défavorables. Nos meilleurs avocats fiscalistes de Vancouver sont expérimentés dans la planification fiscale pour la structuration et la rédaction d'accords d'options d'achat d'actions. Si les actions de la société sont cotées en bourse, l'employé sera généralement autorisé à garder les actions même après la cessation de son emploi. Toutefois, il ou elle sera généralement incapable d'exercer des options d'achat d'actions pour acquérir des actions supplémentaires après avoir quitté son emploi auprès de la société. Plans d'options d'achat d'actions sont l'une des menottes d'or proverbiale puisque les droits des employés sont limités ou résiliés en cas de cessation d'emploi, donc une planification fiscale appropriée et la planification d'entreprise est essentielle dans la structuration des termes et conditions du plan. La plupart des plans d'options d'achat d'actions se limitent à la gestion, mais certains plans d'options d'achat d'actions sont mis à la disposition de tous les employés de l'organisation. Dans ce cas, il y aura habituellement un régime d'options d'achat d'actions différent pour la direction et pour les employés non cadres. Un autre avantage de planification fiscale pour les plans d'options d'achat d'actions d'un point de vue de l'entreprise est qu'il n'y a pas de sortie de trésorerie pour la société. Au contraire, si les employés sont tenus d'acheter les actions sous option à leur juste valeur marchande, la société reçoit effectivement des fonds. Les paiements ne sont exigés par la société que si les dividendes sont déclarés. Régimes d'options d'achat d'actions pour employés - Fiscalité L'émission d'options d'achat d'actions a des incidences fiscales canadiennes qui varient selon que la société est privée ou publique et dépendent aussi de la durée des actions après l'exercice de l'option d'achat d'actions. Expérience pour bien vous conseiller. Lorsque des options d'achat d'actions sont offertes sans réorganisation fiscale et qu'un avantage est conféré à l'employé, la Loi de l'impôt comporte des dispositions particulières applicables. Les prestations d'options d'achat d'actions sont imposables en tant que revenu d'emploi parce qu'elles constituent en fait une solution de rechange à la rémunération en espèces. La règle de common law selon laquelle les options sur actions sont apparues au cours de l'année où l'option d'achat d'actions a été accordée a créé une incertitude considérable pour déterminer la valeur des avantages découlant des options d'achat d'actions non levées. La Loi canadienne sur l'impôt sur le revenu résout l'incertitude en précisant à la fois la méthode d'évaluation et le moment de l'inclusion de la prestation dans le revenu imposable. Une personne est imposable sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions obtenus en vertu de l'emploi. La prestation est déterminée en fonction des actions effectivement acquises aux termes du régime d'options d'achat d'actions. La première question est la suivante: l'avantage conféré en vertu de la relation de travail Émission d'actions pour d'autres considérations (par exemple, en cadeau ou en contrepartie de garantir un prêt) ne donne pas un avantage de l'emploi. De même, l'émission d'actions en vertu du mandat de l'individu (tel qu'un directeur) n'est pas imposable en vertu de ces règles. L'événement déclencheur pour la comptabilisation des options d'achat d'actions est l'acquisition d'actions à un prix inférieur à leur valeur au moment de l'acquisition des actions. Le moment de l'acquisition est déterminé par référence aux principes du droit contractuel et du droit des sociétés. Sauf dans les cas particuliers (dont il est question ci-dessous), la valeur d'une prestation d'achat d'actions ne peut être déterminée qu'après l'exercice de l'option d'achat d'actions, c'est-à-dire au moment de l'acquisition des actions. La valeur de l'avantage est la différence entre le coût de l'option pour l'employé, le montant payé pour les actions et la valeur des actions au moment où ils sont acquis du régime. Les actions sont considérées comme acquises lors de l'exercice de l'option. Valeur signifie juste valeur marchande. Dans le cas des titres négociés en bourse, les cours boursiers seront habituellement considérés comme indicatifs de la juste valeur marchande. Étant donné que les cours cotés reflètent en soi la valeur des participations minoritaires, il n'est pas nécessaire d'actualiser davantage leur valeur pour les intérêts minoritaires. Il est plus difficile de déterminer la valeur des actions d'une société privée, ce qui sera le cas des propriétaires-gestionnaires et des entreprises étroitement détenues. Les actions des sociétés privées sont généralement évaluées par référence aux bénéfices futurs estimés et à la valeur nette rajustée des actifs. La valeur au prorata de la société est ensuite ajustée pour refléter une réduction pour les intérêts minoritaires, le manque de marché, etc. En ce qui concerne la planification fiscale des régimes d'options d'achat d'actions, il existe deux règles spéciales d'imposition du revenu. L'une s'applique aux options émises par les sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC) et l'autre aux acquisitions d'actions de capital-actions prescrites. Ces règles sont des dispositions incitatives destinées à stimuler la participation aux capitaux propres dans les sociétés canadiennes. Les actions acquises dans le cadre d'un régime d'options d'achat d'actions dans le cadre d'une opération à durée déterminée bénéficient d'un traitement préférentiel si elles sont détenues pendant au moins deux ans. C'est-à-dire si les actions sont émises par la société d'employeurs ou par une autre société privée sous contrôle canadien avec laquelle l'employeur ne traite pas à temps. Un employé peut différer la comptabilisation de l'impôt sur le revenu de tout avantage découlant d'options d'achat d'actions émis par une société privée sous contrôle canadien jusqu'à ce que les actions soient cédées. À la disposition des actions, l'employé est imposable sur seulement 34 de la valeur de l'avantage tiré. L'employé bénéficie en différant tout impôt sur le revenu qui serait autrement survenu lors de l'acquisition des actions par un régime ordinaire d'options d'achat d'actions et par la conversion de ce qui serait normalement un revenu source d'emploi totalement imposable en revenu qui est effectivement imposable à un taux inférieur. La partie de la prestation qui est imposable pour l'employé n'est pas un gain en capital mais un revenu d'emploi imposé au même taux qu'un gain en capital. L'employé qui cède des actions d'une société privée sous contrôle canadien dans un délai de deux ans à compter de la date d'acquisition est imposable dans l'année de disposition sur la valeur intégrale de tout avantage découlant de leur acquisition. Il existe également une règle spéciale pour les régimes d'options d'achat d'actions dans le cadre de laquelle un particulier acquiert des actions de capital-actions prescrites dans une société d'employeur ou dans une société avec laquelle l'employeur ne traite pas à temps. Un employé est assujetti à un impôt sur 34 seulement de la valeur de tout avantage découlant d'un tel régime. Toutefois, l'avantage est imposable sur une base courante. Les conditions suivantes doivent être remplies pour qu'un régime d'options d'achat d'actions puisse bénéficier de ce traitement fiscal spécial: Les actions doivent être prescrites au moment de leur vente ou de leur émission. L'employé doit acheter les actions au moins à leur juste valeur marchande au La date à laquelle l'entente a été conclue et le salarié doit avoir été à distance avec l'employeur et la société émettrice au moment où l'entente a été conclue. Le contenu de cet article est destiné à fournir un guide général sur le sujet. Des conseils spécialisés devraient être recherchés au sujet de votre situation spécifique. Pour imprimer cet article, il vous suffit d'être enregistré sur Mondaq. Lorsqu'une société accepte de vendre ou d'émettre ses actions à des employés, ou lorsqu'une fiducie de fonds commun de placement accorde des options à un employé pour acquérir des parts de fiducie, l'employé peut: Bénéfice imposable. Qu'est-ce qu'un avantage imposable en matière de valeurs mobilières (actions) Quels sont les avantages Types d'options. Quand est-il imposable Déduction pour don de bienfaisance de titres Conditions à satisfaire pour obtenir la déduction lorsque le titre est donné. Déductions de l'avantage d'option Conditions à remplir pour être admissible à la déduction. Déclarer l'avantage sur le feuillet T4 Codes à utiliser sur le feuillet T4. Retenue des retenues sur la paie sur les options Déterminez quand vous devez retenir les cotisations au RPC ou l'impôt sur le revenu des options. (Les primes d'assurance-emploi ne s'appliquent pas aux options). Formulaires et publications Menu secondaire Informations sur le site


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